"Que reste-t-il de toi, ce soir, Marinette, morte en 1900 ? Que reste-t-il d’un corps enseveli depuis trente années ? Je me souviens de ton odeur nocturne. Pour croire à la résurrection de la chair, peut-être faut-il avoir vaincu la chair. La punition de ceux qui en ont abusé est de ne pouvoir plus même imaginer qu’elle ressuscitera."
Louis, in François Mauriac, Vipers' tangle, trans. Warre B. Wells, I.viii (Garden City, NY: Image Books, Doubleday & Co., Inc., 1957 [1932]), 85) =Le nœud de vipères: roman (Paris: Éditions Bernard Grasset, 1932), 133-134.
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