"Il ne se dèrangeait jamais pour voir le clair du lune sur la terrasse. Il n'avait pas le sentiment de la nature parce qu'il était la nature même, confoundu en elle, une de ses forces, une source vive entre les sources."
Louis, in François Mauriac, Vipers' tangle, trans. Warre B. Wells, I.x (Garden City, NY: Image Books, Doubleday & Co., Inc., 1957 [1932]), 97) =Le nœud de vipères: roman (Paris: Éditions Bernard Grasset, 1932), 152.
No comments:
Post a Comment