"from this important distinction between time considered in itself, and time [considered] in relation to eternity, I draw this infallible consequence: if time is nothing in itself, it follows that all time is lost, to which we will not have attached something more immutable than it, something capable of passing on into blessed eternity."
"de cette distinction importante du temps considéré en lui-même, et du temps par rapport à l'éternité, je tire cette conséquence infaillible: si le temps n'est rien par lui-même, il s'ensuit que tout le temps est perdu, auquel nous n'aurons point attaché quelque chose de plus immuable que lui, quelque chose qui puisse passer à l'éternité bienheureuse."
Fr. Jacques-Bénigne Bossuet, "Oraison funèbre de Madame Yolande de Monterby" (Metz, end of December 1656), in Bossuet: oraisons funèbres, panégyriques, Bibliothèque de la Pléiade 33, ed. the Abbé Bernard Velat (Paris: Librairie Galllimard, 1951): 23.
And speaking of time, "Ni les affaires ni les compagnies n'étaient pas capables de lui ravir le temps qu'elle destinait aux choses divines" (24, italics mine).
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