The Curé d'Ars, as quoted by Abbé Francis Trochu, in his The Curé d'Ars: St Jean-Marie-Baptiste Vianney (1786-1859) according to the Acts of the process of canonization and numerous hitherto unpublished documents, trans. Dom Ernest Graf, O.S.B. (London: Burns Oates & Washbourne Ltd., 1951 [1927]), 370-371. Cf. p. 435 of the original French, citing Abbé Monnin, Procès de l’Ordinaire, p. 1094:
Oh! que la religion est belle, s’écriait-il. Je pensais tout à l’heure que c’était entre Notre-Seigneur et les bonnes religieuses, ses épouses mystiques, un assaut de générosité. Mais, quoi qu’elles fassent, c’est toujours Notre-Seigneur qui l’emporte… Les Sœurs disaient: «Je renouvelle mes vœux de pauvreté, de chasteté et d’obéissance.» Quand même c’étaient elles qui recevaient le plus, car à mon tour je disais: «Que le corps de Notre Seigneur Jésus-Christ garde votre âme pour la vie éternelle.»
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