"Le Tuba mirum débute par une phrase sublime, qui n'aboutit à rien et dont l'instrumentation est impuissante. Pourquoi un seul trombone est-il chargé de sonner l'appel terrible qui doit retenir par toute la terre et réveiller les morts au fond de leurs tombeaux? Pourquoi faire taire les deux autres trombones? quand, au lieu de trois, trente, trois cents même ne seraient pas de trop? Serait-ce parce que le mot tuba exprime le singulier et non le pluriel? C'est faire une injure à Mozart que de lui supposer un instant une aussi sotte idée."
Hector Berlioz on Mozart's Requiem (the Tuba mirum), Le rénovateur, 30 March 1834, "echoed in similar terms in G[azette ]m[usicale], 7 September 1834; C[ritique ]m[usicale], 1 [(1823-34) (Paris, 1996)], pp. 204, 376" (Hugh MacDonald, Berlioz's orchestration treatise: a translation and commentary (Cambridge, England: Cambridge University Press, 2002), 219-220, as supplemented from the French in brackets by me). French as quoted in Hector Berlioz, Grand traité d'instrumentation et d'orchestration modernes, ed. Peter Bloom, Hector Berlioz: New edition of the complete works, ed. Berlioz Centenary Committee, London, in association with the Calouste Gulbenkian Foundation, Lisbon, vol. 24 (Kassel: Bärenreiter, 2003), 310n13.
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